En juin 2016 dans Franche Connexion, nous emmenons Radio Elvis faire un tour dans l'appartement de Boris Vian quelque part dans le 18e arrondissement de Paris.
Dans ce lieu un peu magique, où l'auteur de "L'écume des jours" a filé le parfait amour avec son "ourson" d'Ursula, le souvenir de l'écrivain est perpétué dans un décor bien éloigné des prétentions muséales.
Son univers et le témoignage de son passage sont respectés mais plein de petits signes semblent indiquer que l'auteur, parti jeter un oeil à une adaptation cinématographique de son "J'irai cracher sur vos tombes" a été retenu au loin, mais va bientôt revenir; 57 ans plus tard, dans un monde qui a un peu évolué.
Le café fume à la cuisine, et Nicole Bertolt hôte au nom de la cohérie Boris Vian, veille à ce que l'auteur, qui ne vieillit pas, s'inscrive pour toujours dans la modernité, dans la vie.
Dans cette maison qui respire la vie, on imagine que Radio Elvis , rejeton de cette jeune garde si chère à Vian, patiente que le maître de maison revienne de sa corvée du jour. Alors forcément, dans un univers tourné autour des lettres et la musique, on pousse les meubles, on sort les guitares... et on laisse la magie opérer. Puis, au débotté, comme ça, pour rigoler, le groupe reprend un peu par mégarde, un peu de guingois, un des standards pop du maître de maison.
Les caméras continuaient de tourner, les trois gars n'y prenaient pas garde... Rendez-vous en juin pour la session complète avec ces enfants du rock.
La Page de Boris Vian sur le web social
Dans ce lieu un peu magique, où l'auteur de "L'écume des jours" a filé le parfait amour avec son "ourson" d'Ursula, le souvenir de l'écrivain est perpétué dans un décor bien éloigné des prétentions muséales.
Son univers et le témoignage de son passage sont respectés mais plein de petits signes semblent indiquer que l'auteur, parti jeter un oeil à une adaptation cinématographique de son "J'irai cracher sur vos tombes" a été retenu au loin, mais va bientôt revenir; 57 ans plus tard, dans un monde qui a un peu évolué.
Le café fume à la cuisine, et Nicole Bertolt hôte au nom de la cohérie Boris Vian, veille à ce que l'auteur, qui ne vieillit pas, s'inscrive pour toujours dans la modernité, dans la vie.
Dans cette maison qui respire la vie, on imagine que Radio Elvis , rejeton de cette jeune garde si chère à Vian, patiente que le maître de maison revienne de sa corvée du jour. Alors forcément, dans un univers tourné autour des lettres et la musique, on pousse les meubles, on sort les guitares... et on laisse la magie opérer. Puis, au débotté, comme ça, pour rigoler, le groupe reprend un peu par mégarde, un peu de guingois, un des standards pop du maître de maison.
Les caméras continuaient de tourner, les trois gars n'y prenaient pas garde... Rendez-vous en juin pour la session complète avec ces enfants du rock.
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