Le premier « vaccidrive » de France a ouvert ce mardi, sur le
parking de la clinique Saint-Jean, près de Montpellier. « L'essentiel,
c'est d'être vacciné, si c'est dans la voiture c'est cool », témoigne
Jean-Michel Sabatier, 67 ans, l'un des premiers vaccinés du « drive »,
qui n'était pas parvenu à s'inscrire dans d'autres centres plus proches de son
domicile d'Agde (Hérault). Ce mode opératoire, déjà mis en place aux Etats-Unis ou encore en Italie, semble séduire. Françoise Murat, 59 ans, venue recevoir sa première injection se sent plus rassurée, car le drive est « rapide ».
« Tout est identique d'un point de
vue médical mais le contexte est plus apaisant car vous restez dans un
environnement connu », confirme le docteur Lucas Rondepierre, médecin
généraliste qui assure avec d'autres soignants libéraux l'accueil et la
vaccination sur le site. Si le « vaccidrive » reste modeste avec pas plus de 200 doses
injectées par semaine, l’idée est « d’offrir un moyen supplémentaire de se
faire vacciner et pourquoi pas d’inspirer d’autres communes à en faire autant »,
explique Lamine Gharbi, président de la fédération de l'Hospitalisation privée
et du groupe Cap Santé. Sur le plan pratique, les candidats à la vaccination
arrivent dans l'espace du parking dédié et doivent suivre les mêmes étapes que
dans un centre conventionnel : vérification de l'inscription, questionnaire
médical, si besoin consultation médicale. Puis vient le moment de la piqûre sur
le haut du bras, fenêtre de l’habitacle ouverte, assis confortablement derrière
son volant.
parking de la clinique Saint-Jean, près de Montpellier. « L'essentiel,
c'est d'être vacciné, si c'est dans la voiture c'est cool », témoigne
Jean-Michel Sabatier, 67 ans, l'un des premiers vaccinés du « drive »,
qui n'était pas parvenu à s'inscrire dans d'autres centres plus proches de son
domicile d'Agde (Hérault). Ce mode opératoire, déjà mis en place aux Etats-Unis ou encore en Italie, semble séduire. Françoise Murat, 59 ans, venue recevoir sa première injection se sent plus rassurée, car le drive est « rapide ».
« Tout est identique d'un point de
vue médical mais le contexte est plus apaisant car vous restez dans un
environnement connu », confirme le docteur Lucas Rondepierre, médecin
généraliste qui assure avec d'autres soignants libéraux l'accueil et la
vaccination sur le site. Si le « vaccidrive » reste modeste avec pas plus de 200 doses
injectées par semaine, l’idée est « d’offrir un moyen supplémentaire de se
faire vacciner et pourquoi pas d’inspirer d’autres communes à en faire autant »,
explique Lamine Gharbi, président de la fédération de l'Hospitalisation privée
et du groupe Cap Santé. Sur le plan pratique, les candidats à la vaccination
arrivent dans l'espace du parking dédié et doivent suivre les mêmes étapes que
dans un centre conventionnel : vérification de l'inscription, questionnaire
médical, si besoin consultation médicale. Puis vient le moment de la piqûre sur
le haut du bras, fenêtre de l’habitacle ouverte, assis confortablement derrière
son volant.
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