Depuis plus d’un an avec
le premier confinement, les musiciens du métro sélectionnés par la RATP avaient
disparu du paysage. Avec le déconfinement total, ce mercredi 30 juin, près d’un
tiers d’entre eux ont pu réinstaller leurs instruments et leurs micros dans les
couloirs du métro parisien. De quoi réjouir les usagers mélomanes. A l’image de
Soizic, une habituée de la ligne 1 qui passe chaque jour dans les allées du métro
Bastille. « Maintenant qu’on entend de nouveau ces musiciens, je me rends
compte que ça m’avait manqué. Passer à côté d’eux, prendre quelques secondes
pour les écouter, ça fait un bien fou. On retrouve un semblant de vie d’avant »,
souffle-t-elle derrière son masque.
Marie, 25 ans, la guitare
en bandoulière, retrouve son public. Enfin. Et tant pis si elle doit chanter
derrière son masque, qui reste obligatoire pour tout le monde, même pour les
musiciens. « C’était long. Je joue depuis cinq ans ici à Bastille. J’y ai
mes habitudes. Je tournais en rond chez moi depuis tout ce temps. Là je
retrouve mes marques, les usagers du métro qui s’arrêtent un instant, m’écoutent.
Ça m’avait tant manqué », témoigne la chanteuse.
le premier confinement, les musiciens du métro sélectionnés par la RATP avaient
disparu du paysage. Avec le déconfinement total, ce mercredi 30 juin, près d’un
tiers d’entre eux ont pu réinstaller leurs instruments et leurs micros dans les
couloirs du métro parisien. De quoi réjouir les usagers mélomanes. A l’image de
Soizic, une habituée de la ligne 1 qui passe chaque jour dans les allées du métro
Bastille. « Maintenant qu’on entend de nouveau ces musiciens, je me rends
compte que ça m’avait manqué. Passer à côté d’eux, prendre quelques secondes
pour les écouter, ça fait un bien fou. On retrouve un semblant de vie d’avant »,
souffle-t-elle derrière son masque.
Marie, 25 ans, la guitare
en bandoulière, retrouve son public. Enfin. Et tant pis si elle doit chanter
derrière son masque, qui reste obligatoire pour tout le monde, même pour les
musiciens. « C’était long. Je joue depuis cinq ans ici à Bastille. J’y ai
mes habitudes. Je tournais en rond chez moi depuis tout ce temps. Là je
retrouve mes marques, les usagers du métro qui s’arrêtent un instant, m’écoutent.
Ça m’avait tant manqué », témoigne la chanteuse.
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