Un coup de spray désinfectant et puis s’en va. Pour ne pas répondre aux questions, le Premier ministre thaïlandais a choisi d’asperger les journalistes trop insistants avec du gel hydroalcoolique. Prayut Chan-o-cha était interrogé sur la démission forcée de trois ministres issus du groupe Comité populaire de réforme démocratique.
Les trois personnalités ont été reconnues coupables d’insurrection, d’obstruction aux élections et d’envahissement des biens lors des manifestations de 2014 contre le gouvernement de Yingluck Shinawatra. Avec le soutien du roi de Thaïlande, Prayut Chan-o-cha, alors chef de l’armée, avait pris la tête d’un coup d’Etat et renversé le pouvoir en place.
Les trois personnalités ont été reconnues coupables d’insurrection, d’obstruction aux élections et d’envahissement des biens lors des manifestations de 2014 contre le gouvernement de Yingluck Shinawatra. Avec le soutien du roi de Thaïlande, Prayut Chan-o-cha, alors chef de l’armée, avait pris la tête d’un coup d’Etat et renversé le pouvoir en place.
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