En visite à la gare de Lyon, à Paris, le ministre délégué aux Transports a indiqué que les passagers d'un quart des trains longue distance devaient faire l'objet d'un contrôle de leur pass sanitaire, ce lundi. Le pass sanitaire - preuve d'une vaccination complète, d'un test négatif de moins de 72 heures ou du rétablissement du malade depuis moins de six mois - est désormais exigé pour monter à bord des trains Intercités et des TGV, mais pas pour les TER et trains de banlieue parisienne.
Les contrôles « seront massifs », a également expliqué Jean-Baptiste Djebbari, « ils ne seront pas systématiques parce nous avons 400 000 voyageurs par jour dans les trains, pour ne parler que des trains, et c'est donc tout à fait impossible de contrôler tout le monde en tous points, promettant une semaine de rodage.
Les contrôles seront mis en place « à l'abord des quais », pourront être effectués à bord des trains ou à l'arrivée. Les contrevenants encourent une amende forfaitaire de 135 euros. Pour fluidifier les contrôles, en gare de Lyon, des personnes vêtues d'un gilet bleu vérifiaient lundi matin le pass sanitaire avant de mettre un bracelet en papier bleu au poignet des
passagers contrôlés.
Les contrôles « seront massifs », a également expliqué Jean-Baptiste Djebbari, « ils ne seront pas systématiques parce nous avons 400 000 voyageurs par jour dans les trains, pour ne parler que des trains, et c'est donc tout à fait impossible de contrôler tout le monde en tous points, promettant une semaine de rodage.
Les contrôles seront mis en place « à l'abord des quais », pourront être effectués à bord des trains ou à l'arrivée. Les contrevenants encourent une amende forfaitaire de 135 euros. Pour fluidifier les contrôles, en gare de Lyon, des personnes vêtues d'un gilet bleu vérifiaient lundi matin le pass sanitaire avant de mettre un bracelet en papier bleu au poignet des
passagers contrôlés.
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