par Denis Verloes et Claude Vittiglio
FRANCHE CONNEXION
(photos et coulisses du tournage: )
Jean écrit les mots de Jo, Jo ajoute une pointe de rouerie au second degré de Jean.
Voici une femme, féminine jusqu’au bout des ongles qui chante des paroles à faire hurler les féministes, où les amantes se loveraient bien dans les valises de leurs beau gosses de chéris, pour les croquer du regard pendant leurs tournées à travers le monde. Voilà un duo où les amoureuses menacent de rester à l’auberge « des culs tournés », si les hommes ne se décident pas à redevenir les images d’Epinal qu’on leur reproche pourtant trop souvent d’être, au 21e siècle.
Musicalement les influences de Mustang sont perceptibles, mais y sont gommées toutes les accointances punk. On y repère aussi l’art de laisser le silence créer une atmosphère comme on l’imagine dans les films de Lynch, juste avant que déboule le nain en tuxedo rouge. Jo Wedin & Jean Felzine ont cependant trouvé une grammaire bien à eux. Ils se sont trouvés. En interview ils citent les Everly Brothers, et c’est vrai qu’il y a de cette fratrie dans l’harmonie des deux voix, quand elles poussent la mélodie.
En cette fin de matinée printanière, nous avons emmené la native de suède et le « Puy né » auvergnat au cœur du Paris populaire, où a jailli il n’y a pas si longtemps un de ces cafés à l’anglo-saxonne un peu incongru dans ce quartier encore très métissé où les Parisiens aisés s’encanaillent au milieu des vendeurs de cigarettes de contrebande et des habitants historiques de Barbès.
Quoi de mieux qu’une verrière ouverte sur la ville pour entendre chanter la canopée, quoi de mieux que le parquet de la rotonde d’un bar pour évoquer le rock un peu voyou, quoi de mieux qu’un métro en station aérienne pour faire vivre l’imaginaire de la capitale jusqu’à l’autre bout du monde.
FRANCHE CONNEXION
(photos et coulisses du tournage: )
Jean écrit les mots de Jo, Jo ajoute une pointe de rouerie au second degré de Jean.
Voici une femme, féminine jusqu’au bout des ongles qui chante des paroles à faire hurler les féministes, où les amantes se loveraient bien dans les valises de leurs beau gosses de chéris, pour les croquer du regard pendant leurs tournées à travers le monde. Voilà un duo où les amoureuses menacent de rester à l’auberge « des culs tournés », si les hommes ne se décident pas à redevenir les images d’Epinal qu’on leur reproche pourtant trop souvent d’être, au 21e siècle.
Musicalement les influences de Mustang sont perceptibles, mais y sont gommées toutes les accointances punk. On y repère aussi l’art de laisser le silence créer une atmosphère comme on l’imagine dans les films de Lynch, juste avant que déboule le nain en tuxedo rouge. Jo Wedin & Jean Felzine ont cependant trouvé une grammaire bien à eux. Ils se sont trouvés. En interview ils citent les Everly Brothers, et c’est vrai qu’il y a de cette fratrie dans l’harmonie des deux voix, quand elles poussent la mélodie.
En cette fin de matinée printanière, nous avons emmené la native de suède et le « Puy né » auvergnat au cœur du Paris populaire, où a jailli il n’y a pas si longtemps un de ces cafés à l’anglo-saxonne un peu incongru dans ce quartier encore très métissé où les Parisiens aisés s’encanaillent au milieu des vendeurs de cigarettes de contrebande et des habitants historiques de Barbès.
Quoi de mieux qu’une verrière ouverte sur la ville pour entendre chanter la canopée, quoi de mieux que le parquet de la rotonde d’un bar pour évoquer le rock un peu voyou, quoi de mieux qu’un métro en station aérienne pour faire vivre l’imaginaire de la capitale jusqu’à l’autre bout du monde.
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