e syndicat CGT est venu manifester ce jeudi devant le siège de Celio à Saint-Ouen, pour dénoncer le plan PSE qui prévoit de fermer 103 magasins et menace 392 postes. « Ce sont les soldes et la direction de Celio brade les salariés ! » ironise Élodie, secrétaire générale du syndicat CGT pour la vente et le commerce. « Nous dénonçons le manque de transparence de ce plan, qui a pris les salariés par surprise, certains magasins fermant lundi prochain et leurs salariés ne sachant même pas s’ils vont être gardés ou non ». « On est à bout », lâche Joachim, un jeune syndicaliste de chez Celio. « Je suis en colère » hurle à ses côtés Sorel, un employé, devant les portes du siège.
Pression
Soudain les portes s’ouvrent sur le directeur de la sécurité France de Celio, qui demande aux importuns de bien vouloir laisser le passage. Le ton monte. « Nous sommes là et nous allons manifester, lui crie Sorel, prêt à ne pas céder d’un pouce. Les salariés sont peu nombreux devant le site. « En découvrant hier notre tract qui appelait au rassemblement, la direction de Celio a fait pression sur ses salariés, appelant chaque magasin, pour les dissuader de venir manifester avec nous. Mais beaucoup nous ont remonté ses pressions et on est là pour eux » déclare Élodie. " Menaces sur l’emploi, le planning ou les vacances… C’est facile de faire pression dans le commerce, il y a plein de moyen de le faire ». D’autant que beaucoup de magasins Celio restent de petites structures avec un manager et trois ou quatre salariés.
Mardi, la direction de Celio n’avait pas souhaité réagir.
Pression
Soudain les portes s’ouvrent sur le directeur de la sécurité France de Celio, qui demande aux importuns de bien vouloir laisser le passage. Le ton monte. « Nous sommes là et nous allons manifester, lui crie Sorel, prêt à ne pas céder d’un pouce. Les salariés sont peu nombreux devant le site. « En découvrant hier notre tract qui appelait au rassemblement, la direction de Celio a fait pression sur ses salariés, appelant chaque magasin, pour les dissuader de venir manifester avec nous. Mais beaucoup nous ont remonté ses pressions et on est là pour eux » déclare Élodie. " Menaces sur l’emploi, le planning ou les vacances… C’est facile de faire pression dans le commerce, il y a plein de moyen de le faire ». D’autant que beaucoup de magasins Celio restent de petites structures avec un manager et trois ou quatre salariés.
Mardi, la direction de Celio n’avait pas souhaité réagir.
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