Lors de sa plaidoirie, Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, a prononcé un discours pour « la liberté d’emmerder Dieu », la caricature des religions et la défense des valeurs républicaines.
A la sortie de la salle d’audience, Richard Malka s’emporte contre ceux qui selon lui, ont permis à « l’obscurantisme de gagner ». L’avocat de Charlie Hebdo a clôturé la litanie des plaidoiries des parties civiles au procès des attentats de janvier 2015. « Cette histoire de caricature c’est un prétexte", explique-t'il. « Le problème c’est ce que nous sommes, nous sommes l’Autre, avec un autre universalisme de raison et de liberté et ils ne le supportent pas ».
Celui qui a rédigé les statuts du journal lors de sa résurrection en 1992 vois ici un procès politique « des valeurs républicaines ébranlées » au nom d'une idéologie islamiste qu'il fustige. « À nous de crier, de chanter, de hurler pour recouvrir du sang de nos voix le sang hideux des couteaux sous nos gorges », a-t-il lancé avant de rappeler que, pendant la durée de cette audience, « un enseignant a été coupé en deux ».
Paradoxalement, ces pertes ont rendu Charlie invincible, constate Richard Malka. « Vous en avez fait un symbole, une idée, lance-t-il à la face des terroristes. Ils peuvent nous tuer mais ils ne peuvent pas tuer une idée. » Ses derniers mots enfin empreints d'espoir : « Charlie vivra. »
A la sortie de la salle d’audience, Richard Malka s’emporte contre ceux qui selon lui, ont permis à « l’obscurantisme de gagner ». L’avocat de Charlie Hebdo a clôturé la litanie des plaidoiries des parties civiles au procès des attentats de janvier 2015. « Cette histoire de caricature c’est un prétexte", explique-t'il. « Le problème c’est ce que nous sommes, nous sommes l’Autre, avec un autre universalisme de raison et de liberté et ils ne le supportent pas ».
Celui qui a rédigé les statuts du journal lors de sa résurrection en 1992 vois ici un procès politique « des valeurs républicaines ébranlées » au nom d'une idéologie islamiste qu'il fustige. « À nous de crier, de chanter, de hurler pour recouvrir du sang de nos voix le sang hideux des couteaux sous nos gorges », a-t-il lancé avant de rappeler que, pendant la durée de cette audience, « un enseignant a été coupé en deux ».
Paradoxalement, ces pertes ont rendu Charlie invincible, constate Richard Malka. « Vous en avez fait un symbole, une idée, lance-t-il à la face des terroristes. Ils peuvent nous tuer mais ils ne peuvent pas tuer une idée. » Ses derniers mots enfin empreints d'espoir : « Charlie vivra. »
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