Jean Bito
Né le 17 octobre 1930
Fils de déportés, arrêtés le 27 janvier 1944 et envoyés à Auschwitz par le convoi N°67
« De mon père, je me rappelle la patience, c’était un homme sage. De ma mère la gaîté, elle chantait »
Jean Bito a subi l’antisémitisme puis la mort des membres de sa famille comme les prémices d’une acculturation. Livré à lui-même au lendemain de la guerre il a dû se reconstruire seul, dans un environnement social et politique hostile ou indifférent aux enfants de déportés. Il pose à présent un regard désabusé sur la société française, et le judaïsme, mais n’en demeure pas moins animé d’un grand appétit de vivre.
Né le 17 octobre 1930
Fils de déportés, arrêtés le 27 janvier 1944 et envoyés à Auschwitz par le convoi N°67
« De mon père, je me rappelle la patience, c’était un homme sage. De ma mère la gaîté, elle chantait »
Jean Bito a subi l’antisémitisme puis la mort des membres de sa famille comme les prémices d’une acculturation. Livré à lui-même au lendemain de la guerre il a dû se reconstruire seul, dans un environnement social et politique hostile ou indifférent aux enfants de déportés. Il pose à présent un regard désabusé sur la société française, et le judaïsme, mais n’en demeure pas moins animé d’un grand appétit de vivre.
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