Le décompte des personnes radicalisées en France a souvent fait l'objet de confusion. Après les fiches S, c'est désormais le FSPRT qui est l'objet de raccourcis.
Le FSPRT, c'est le Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation terroriste, dans lequel était recensé le nom tristement célèbre désormais de Radouane Lakdim, auteur de l'attentat de Trèbes.
Des élus d'opposition se sont alarmés de l'augmentation depuis 2016 du nombre de personnes dans le fichier, de 15 000 à 19 000.
Les derniers chiffres communiqués par les autorités faisaient état de 19 745 noms dans le FSPRT, créé en mars 2015.
19 745, c'est presque 20 000. Mais voilà, cela n'a guère de sens de parler du nombre sans tenir compte des strates qui composent le fichier.
Désintox
Une production ARTE / 2P2L / Libération
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Des élus d'opposition se sont alarmés de l'augmentation depuis 2016 du nombre de personnes dans le fichier, de 15 000 à 19 000.
Les derniers chiffres communiqués par les autorités faisaient état de 19 745 noms dans le FSPRT, créé en mars 2015.
19 745, c'est presque 20 000. Mais voilà, cela n'a guère de sens de parler du nombre sans tenir compte des strates qui composent le fichier.
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