Depardieu : pourquoi il largue sa collection d’œuvres d’art

Quand on pousse, place Boieldieu (Paris 2e), la porte de la maison de ventes Ader, impossible de le rater. Il se tient là, sur la gauche, massif, les bras un peu de guingois, pataud, maladroit, les genoux cagneux, luisant, le nez épaté d'un buffle, en léger déséquilibre : L'Homme qui marche. Cent trente-huit centimètres de glaise métamorphosée en bronze patiné. En découvrant cette puissante sculpture de Germaine Richier, qui n'était que feu et volcan, comment ne pas penser à l'homme qui vend ? Le modèle de Richier, Nardone, avait posé pour le Balzac de Rodin : deux monstres sacrés jadis interprétés par cet autre monstre sacré lâché par le milieu du cinéma, réduit à l'état de monstre pour cause d'affaires judiciaires. https://www.lepoint.fr/societe/depardieu-pourquoi-il-largue-sa-collection-d-oeuvres-d-art-23-09-2023-2536560_23.php Retrouvez-nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/ - Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/ - Twitter : https://twitter.com/LePoint - Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr - Tik Tok : https://www.tiktok.com/@lepointfr - LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/ - www.lepoint.fr