À l’heure des bêtisiers de fin d’année, les lapsus des journalistes figurent encore et toujours en bonne place, comme le montre notre sélection.
Faut-il y voir une conséquence de la proposition contestée d’Éric Zemmour d’obliger les parents à donner un prénom dit « français » à leurs enfants ? Toujours est-il que parmi les lapsus les plus marquants de l’année 2021, la confusion autour du prénom, et aussi du nom, attribués indûment au polémiste d’extrême droite fait florès depuis la rentrée. Fin septembre, la langue de Pascal Praud a ainsi involontairement fourché sur CNews en désignant son ancien collègue.
Mais si sur France Inter et LCI des journalistes ont momentanément confondu Éric Zemmour et... Éric Ciotti, ce dernier ne s’en offusque pas pour autant. Bien au contraire. « Ce n’est pas une insulte pour moi, comme le font certains sur votre antenne », a réagi le député LR de Nice sur France Inter, réglant au passage ses comptes avec des chroniqueurs officiant sur le service public dont il apprécie visiblement peu l’humour.
Autre catégorie remarquée cette année : les lapsus à connotation partisane. Caroline Roux sur France 2, Sonia Mabrouk sur Europe 1 et Laurence Ferrari sur CNews en ont d’ailleurs fait les frais. Et pour se sortir de cette confusion embarrassante, la première a rectifié par une remarque mêlant humour et sororité, la seconde a immédiatement reformulé sa question, la troisième n’a malheureusement rien vu venir.
À l’inverse, Thomas Sotto s’est rendu compte avant même de l’avoir prononcé d’un lapsus mettant en scène Valérie Pécresse dans le rôle d’une célèbre chanteuse.
Gilles Bouleau, lui, n’a pas été en reste. Après l’allocution télévisée d’Emmanuel Macron diffusée début novembre, le présentateur du 20h de TF1 a commis un lapsus très remarqué en évoquant le renforcement des contrôles d’ordre sanitaire avant de se corriger, comme vous pouvez le découvrir dans notre vidéo.
#lapsus #journalistes #télé #radio #politiques #candidats #election
Faut-il y voir une conséquence de la proposition contestée d’Éric Zemmour d’obliger les parents à donner un prénom dit « français » à leurs enfants ? Toujours est-il que parmi les lapsus les plus marquants de l’année 2021, la confusion autour du prénom, et aussi du nom, attribués indûment au polémiste d’extrême droite fait florès depuis la rentrée. Fin septembre, la langue de Pascal Praud a ainsi involontairement fourché sur CNews en désignant son ancien collègue.
Mais si sur France Inter et LCI des journalistes ont momentanément confondu Éric Zemmour et... Éric Ciotti, ce dernier ne s’en offusque pas pour autant. Bien au contraire. « Ce n’est pas une insulte pour moi, comme le font certains sur votre antenne », a réagi le député LR de Nice sur France Inter, réglant au passage ses comptes avec des chroniqueurs officiant sur le service public dont il apprécie visiblement peu l’humour.
Autre catégorie remarquée cette année : les lapsus à connotation partisane. Caroline Roux sur France 2, Sonia Mabrouk sur Europe 1 et Laurence Ferrari sur CNews en ont d’ailleurs fait les frais. Et pour se sortir de cette confusion embarrassante, la première a rectifié par une remarque mêlant humour et sororité, la seconde a immédiatement reformulé sa question, la troisième n’a malheureusement rien vu venir.
À l’inverse, Thomas Sotto s’est rendu compte avant même de l’avoir prononcé d’un lapsus mettant en scène Valérie Pécresse dans le rôle d’une célèbre chanteuse.
Gilles Bouleau, lui, n’a pas été en reste. Après l’allocution télévisée d’Emmanuel Macron diffusée début novembre, le présentateur du 20h de TF1 a commis un lapsus très remarqué en évoquant le renforcement des contrôles d’ordre sanitaire avant de se corriger, comme vous pouvez le découvrir dans notre vidéo.
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