Préserver la mémoire d’une tragédie oubliée et raconter l’espoir soulevé par une révolution : c’est le double objectif de la réalisatrice syrienne Hala Rajha. Hala Rajha n’est pas son vrai nom, le révéler la mettrait en danger, car Hala vit et travaille toujours en Syrie. Elle a tourné et fait sortir son film du pays dans la clandestinité. Grâce aux témoignages d’habitants de la ville d’Hama, elle revient sur un massacre passé sous silence en 1982 et sur le formidable élan de liberté soulevé, trente ans plus tard, par la révolution.
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