L’apprentissage du langage des signes pour les bébés gagne du terrain dans certaines crèches françaises, où il est très précieux pour pallier l’impact du port du masque sur l’apprentissage de la parole.
Assis en tailleur sur les coussins de la salle de jeux, un petit garçon frappe frénétiquement son petit point contre sa poitrine, en regardant avec de grands yeux inquiets l’appareil photo braqué sur lui. « Il a peur, explique Maude Payen, en le prenant sur ses genoux. Ce geste, ça veut dire « peur » en langage des signes ». Dans la crèche Les Petits Chaperons Rouges, à Gennevilliers (Île-de-France), Maude Payen chapeaute le programme de communication gestuelle. Depuis 2014, elle apprend les rudiments du langage des signes aux tout-petits. L’objectif : leur donner un moyen de communiquer leurs envies et leurs émotions, même s’ils ne savent pas encore parler. « Ça réduit les frustrations. Les bébés pleurent beaucoup moins », explique Maude Payen.
Assis en tailleur sur les coussins de la salle de jeux, un petit garçon frappe frénétiquement son petit point contre sa poitrine, en regardant avec de grands yeux inquiets l’appareil photo braqué sur lui. « Il a peur, explique Maude Payen, en le prenant sur ses genoux. Ce geste, ça veut dire « peur » en langage des signes ». Dans la crèche Les Petits Chaperons Rouges, à Gennevilliers (Île-de-France), Maude Payen chapeaute le programme de communication gestuelle. Depuis 2014, elle apprend les rudiments du langage des signes aux tout-petits. L’objectif : leur donner un moyen de communiquer leurs envies et leurs émotions, même s’ils ne savent pas encore parler. « Ça réduit les frustrations. Les bébés pleurent beaucoup moins », explique Maude Payen.
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