À Strasbourg, des réfugiées ukrainiennes ont retrouvé le chemin du travail dans le groupe Altaïr grâce des contrats d’insertion.
Une soixantaine d’emplois pour l’insertion de réfugiées ukrainiennes : c’est la promesse du groupe Altaïr pour les aider à repartir de zéro pour s’intégrer. « C’est important pour moi de gagner de l’argent et de faire quelque chose d’utile pour les gens. » Olga Skabovska a 69 ans. Elle se décrit comme une personne active : « C’est difficile pour moi de rester simplement dans la cuisine ou juste de me promener avec mon petit-fils, je veux faire quelque chose de plus. » Alors ce mercredi 13 avril, elle et une vingtaine d’autres réfugiées sont venues tester des métiers, qu’elles n’ont, pour la plupart, jamais exercés. Dans le grand hangar d’Altaïr, groupement spécialisé dans l’insertion professionnelle, elles sont plusieurs à avoir choisi la couture.
Une soixantaine d’emplois pour l’insertion de réfugiées ukrainiennes : c’est la promesse du groupe Altaïr pour les aider à repartir de zéro pour s’intégrer. « C’est important pour moi de gagner de l’argent et de faire quelque chose d’utile pour les gens. » Olga Skabovska a 69 ans. Elle se décrit comme une personne active : « C’est difficile pour moi de rester simplement dans la cuisine ou juste de me promener avec mon petit-fils, je veux faire quelque chose de plus. » Alors ce mercredi 13 avril, elle et une vingtaine d’autres réfugiées sont venues tester des métiers, qu’elles n’ont, pour la plupart, jamais exercés. Dans le grand hangar d’Altaïr, groupement spécialisé dans l’insertion professionnelle, elles sont plusieurs à avoir choisi la couture.
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